lundi 11 janvier 2016

Une chronique, une !

Je ne résiste pas au plaisir de partager avec vous la très belle chronique de Sortilèges interdits parue sur le blog Livresse des livres

Merci Aude !

En voici un extrait :
" J'ai trouvé la lecture très prenante. On devine aisément comment certains faits vont s'enchaîner mais il était si bon de les découvrir avec Yodim. Le rythme du récit est joué dans une belle régularité avec quelques crescendos très appréciables. Ce ne serait pas possible d'être autant pris dans un livre sans l'écriture d'Alice Adenot-Meyer, totalement fluide, variée, assez recherchée par moment. J'aime beaucoup le style de l'auteure. C'est une plume qui donne envie d'en avoir toujours plus, un peu comme la musicomagie, je me suis sentie envoûtée par son écriture (l'écritomagie? lecturomagie?)"
Et un autre :
 "En bref, j'ai passé des moments magiques, merci à l'auteure de nous avoir livré cette belle histoire surprenante, originale et enivrante. Je n'ai pas fait longtemps du solfège (quelques années en conservatoire) et de la clarinette mais ici pas besoin d'être à l'aise ou non avec les notes de musique. C'est Yodim qui vous montre le pouvoir de la musique, un pouvoir aussi grand et beau que dangereux. Un pouvoir réel et fantasmé avec cette idée de musicomagie. Mais je conclus sur ceci : j'en veux plus !!! "


Je le reconnais, lire ce genre de choses agit sur moi comme un bon petit remontant (mieux qu'une coupe de champagne). J'en ai bien besoin en ce moment. À bientôt !

vendredi 8 janvier 2016

Voeux

Que 2016 soit pour vous tous qui passez sur cette page une année douce, sereine, riche en belles rencontres, en émotions positives, en chaleur humaine... Que vos souhaits se réalisent, les plus chers, les plus secrets, les plus extravagants (soyons fous) !


Je ne vais pas m'étendre sur les petits soucis qui me prennent la tête en ce début d'année. Rien de grave, mais de la contrariété à revendre. Ce qui suffit à me rendre l'écriture encore plus laborieuse... Devoir courir après une assurance qui rechigne à payer son dû, par exemple, ne favorise pas l'inspiration (à moins de s'en servir comme sujet de roman, mais je tiens à garder les (quelques) lecteurs qui ont l'air d'apprécier mes écrits).
Sinon, eh bien, je retiens mon souffle. 
Comprenez : je reçois toujours avec plaisir (et anxiété) vos avis sur Sortilèges interdits, Piège dans les ruines ou Nalki. Ils arrivent parfois par surprise, lorsque je m'y attends le moins, d'une personne dont je ne savais même pas qu'elle avait acquis/lu un de mes livres. Je les savoure (quand ils sont positifs). Ils peuvent aussi me déconcerter, voire, pour certains, m'agacer. S'apercevoir qu'un lecteur n'a pas du tout compris ce que vous vouliez exprimer, est totalement insensible à votre univers ou n'a guère goûté vos personnages (surtout les principaux) n'est jamais agréable (même si tout auteur se prépare à ce genre de douche froide)... On me reproche parfois des longueurs (sans toutefois préciser dans quels passages, dommage), parfois un manque d'approfondissement (reproches flous et contradictoires, qui ont pourtant émané de la même personne il y a peu...) Je crois que la pire critique qu'on pourrait me faire serait de décréter que le roman est "creux"; inutile ou "déjà-vu". Cela viendra peut-être... bah, ne soyons pas pessimiste.
Alors si vous avez lu l'un des ces trois romans, surtout, n'hésitez pas à m'écrire en commentaire une petite bafouille ! Merci d'avance (et dire que j'y crois encore^^) !

*Photo : Maieul